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Comment vaincre l’anxiété, le trac, et mieux jouer en public ?

Aujourd’hui, nous allons aborder un sujet grave.
Un sujet qui nous concerne tous mais qui est trop souvent passé sous silence.

Le TRAC.

On l’appelle aussi l’ANXIÉTÉ du musicien pendant la performance en public.

Cela vous est-il déjà arrivé de perdre vos moyens à l’idée que dans 2 minutes c’est à vous de jouer devant le public ?

De sentir votre cœur s’emballer, vos mains devenir moites, votre estomac qui remonte jusque dans votre gorge ?
Et puis cette petite voix anxieuse dans votre tête qui répète en boucle “Et si je me plante devant tous ces gens ? Oh non…” ou  encore “je suis nul, je suis nul, ça va mal se passer”

Vous avez déjà vécu cela ? Moi oui.

Et quand j’ai cherché des antidotes à ce stress sur Internet, j’ai été choqué !
Rien, à part des exercices de respiration… Mais comment la respiration pourrait-elle suffire face à tant de symptômes ?

Sérieusement… Oui, respirer peut aider. Pour certains aspects de l’anxiété, et si celle-ci n’est pas trop forte.

Mais vous l’avez compris., c’est rarement suffisant.  C’est pourquoi,  nous allons étudier le fonctionnement du trac en détail.

Vous allez découvrir :

– ce qu’est réellement l’anxiété du musicien face à la performance.
– pourquoi et comment ce démon qu’est le trac vous fragilise.
– comment l’empêcher de vous rendre moins bon en public

Pourquoi vous devez comprendre votre anxiété

Il y a 9 ans, j’ai commencé à former des étudiants qui préparait le concours de première année de médecine aux neurosciences de l’apprentissage et à la préparation mentale. 

Ce concours (qui a été supprimé depuis) était divisé en deux parties, une à la fin de chaque semestre, 

Pour les étudiants, la première partie était  la plus terrible à vivre moralement Pourtant, le second semestre est bien plus consistant que le premier en termes d’apprentissage. Qui lui, est déjà très violent en termes de quantité de cours à apprendre.

Pour vous donner une idée, même un ogre affamé d’apprentissage aurait du mal à finir son assiette du premier semestre tellement son estomac serait à deux doigts d’exploser. 

Qui veut la paix prépare la guerre

Mais alors pourquoi le concours du premier semestre est plus violent psychologiquement pour les étudiants ?

Simplement parce qu’ils ne savent pas à quoi s’attendre.

Ils ne connaissent ni la salle, ni l’ambiance, ni le discours du doyen qui leur conseille de « respirer » pour se déstresser, ni la longue attente devant les salles de concours, rythmée par les contractions d’un estomac trop noué…

Les étudiants ne savent pas à quelle sauce ils vont être mangés !
Et ça, pour l’esprit, c’est terrible.

Ne pas savoir ce qui va se passer, c’est donner carte blanche à un inconscient qui joue les Woody Allen reconverti dans le film d’horreur.

Et vas-y que dans ma tête je fantasme plein d’images angoissantes de doute, de panique, d’échec !
Vas-y qu’une superbe voix-off me pousse quasiment au suicide tellement son discours est inquiétant et déprimant.

Pour un musicien qui ne se connaît pas, c’est la même chose.
Si vous ne savez pas comment votre anxiété se manifeste en public, vous laissez la boîte de Pandore entreouverte.

Car moins on en sait et plus on fantasme.
Et avec le stress, vos scénarios sont très loin de ceux d’un Disney…

Je me trompe ?

​Un homme avertit en vaut deux

Empêchez l'anxiété de vous prendre par surprise

En revanche, si vous connaissez « votre ennemi », vous commencez à mettre des chances de votre côté.

Comment de toutes petites factions de soldats malmènent des armées entières pendant une guerre ?
Comment de grands chefs de guerre ont vaincu des armées ennemies pourtant 3 fois plus nombreuses ?

Grâce à l’effet de surprise !

L’effet de surprise tétanise, paralyse et fragilise celui qui en est la victime.
Qu’il soit soldat dans l’armée Prussienne ou musicien.

Comprendre le fonctionnement de l’anxiété vous évite d’être pris au dépourvu.

Vous éliminez ainsi un éventuel problème de plus.
Vous évitez la panique générée par l’apparition surprise de symptômes de trac inconnus au bataillon.

Se fabriquer une boîte à outils d'antidote​s ciblés contre les effets du trac

Comprendre l’anxiété, le trac, ​présente un autre avantage colossal.

​Connaître votre ennemi vous permet de définir des antidotes appropriés et de les préparer en amont, ​sans public.

​Ben oui !

Personne n’apprend la conduite automobile en tentant de s’insérer sur l’autoroute avec une formule 1 ?
C’est pareil pour le ​trac que vous ressentez en public​ !

​Car enchainer les scènes​, les auditions,​ suffit rarement à guérir du trac​.
​Nombreux sont les musiciens ​qui ont toujours ​autant l’estomac noué par le stress de la scène​ que la première​ fois qu’ils ont joué devant des gens…

Les 3 facettes de l'anxiété

L’anxiété du musicien, le trac, le stress de la scène ou la peur du public n’est pas une seule et unique chose.

Voici comment le Larousse définit a l’anxiété :

Trouble émotionnel se traduisant par un sentiment indéfinissable d’insécurité.

L’anxiété, le trac, l’appréhension du public est donc un mélange de phénomènes.
C’est un pot-pourri d’handicaps variés qui crée une synergie catastrophique.

Voyons quelles sont les 3 facettes de l’anxiété.

L'anxiété ​somatique ou le "trac physique"

L’anxiété somatique est la réponse physique de votre corps au trac.

Vous savez, quand vous avez l’impression que votre cœur va bondir hors de votre poitrine tellement le stress accélère votre rythme cardiaque.

Quand votre pression sanguine augmente à vue d’œil, lorsque vos membres se durcissent comme ceux d’une statue et que vos mains deviennent froides et humides.

Ou encore lorsque votre gorge se serre au point de vous faire mal et que vous commencez à trembler comme un vieillard qui n’aurait pas pris ses médicaments depuis deux jours.

L'anxiété cognitive ou le "trac mental"

L’anxiété cognitive est la réponse mentale de votre corps au trac.

Elle se manifeste par exemple avec des pensées de doute qui assaillent votre esprit quand vous voyez le public.

Quand la petite voix dans votre tête devient extrêmement critique.

Ou quand le trac vous crée des blancs dans votre esprit, que ce dernier divague et se disperse au point qu’il devient impossible pour vous de vous concentrer.

L'anxiété affective ou le "trac émotionnel"

L’anxiété affective est votre réponse émotionnelle au trac.

Elle aussi, vous la connaissez bien !
Elle se manifeste quand vous êtes envahis de peur, de panique, d’appréhension, etc.

2 familles d'anxiété

Voyons à présent une notion de plus, simple mais essentielle.

Il existe deux familles d’anxiété : « l’anxiété trait » et « l’anxiété état ».

Le psychologue clinicien Donald Spielberger (Phd) a mis au point des tests pour évaluer à quel point ces 2 sortes d’anxiétés nous affectent.

"L'anxiété état" de Spielberger

« L’anxiété état » correspond aux sentiments d’appréhension, de tension, de nervosité et d’inquiétude que vous ressentez au moment du challenge ou de la compétition.

C’est ce qu’on appelle « le trac » ou l’anxiété du musicien face à la performance.

Comme pour la couleur de nos yeux et la taille que l’on fera à l’âge adulte, nous ne sommes pas tous égaux face au stress que provoque le public.

Peut-être qu’à l’idée de jouer devant quelques personnes le trac vous liquéfie.
Ou peut-être que vous êtes juste un peu trop tendu pour jouer aussi bien que vous ne le souhaiteriez

"L'anxiété-trait" de Spielberger

« ​L’anxiété trait«  fait référence à votre anxiété en général, votre stress au quotidien.

​Êtes-vous quelqu’un de serein dans la vie, du genre « Keep cool Raoul ! »​ ?
​Un​e sorte de moine bouddhiste qui garderait son calme dans un immeuble en train de s’effondrer ?

Ou êtes-vous plutôt du genre tendu à l’idée qu’un quelconque imprévu puisse se produire dans les 3 prochaines années ?

​Vous l’avez compris, votre tendance à vous angoisser, à être préoccupé et inquiet dans la vie, définit votre anxiété trait.

"De l'anxiété trait" à "l'anxiété état"

Bien sûr, il y a souvent un lien entre ces 2 anxiétés.

Si vous avez un tempérament anxieux, il y a des chances pour que le fait de devoir jouer en public vous panique.

Mais ce n’est pas toujours le cas.

Certains musiciens qui sont de grands stressés de la vie arrivent à donner le meilleur d’eux-mêmes en public. La pression du challenge ne les déstabilise par autant que ça. Ils n’ont que peu le trac. 

À contrario, je connais des musiciens du genre zen et relax dans la vie qui perdent littéralement tous leurs moyens sur scène. Chez eux, le trac est aussi puissant que les réacteurs d’une fusée.

Cependant, le public a tendance à amplifier vos tendances naturelles.
Et un musicien au tempérament téméraire fera souvent preuve de plus d’audace sur scène qu’un musicien à la personnalité timide.

​Conseil pour les plus ​stressés

Stress et zone de confort

Si vous êtes du genre timide et inquiet, rassurez-vous !

Une stratégie existe pour vous aider à mieux gérer votre trac.

Il faut élargir votre zone de confort !  

Votre zone de confort est la zone dans laquelle vous êtes serein et détendu.
La zone dans laquelle vous vous sentez capable de réussir ce que vous avez à faire.

Quand vous vous brossez les dents, vous n’avez pas la boule au ventre !
Vous êtes dans votre zone de confort. Tout est facile.

Mais si je vous demande de jouer devant 20 personnes un morceau que vous maîtrisez peu ?
Là je parie que la panique pourrait vous envahir… 😉

​Mais comment élargir votre zone de confort ?

Pour faire grandir votre zone de confort, c’est simple.

Vous devez en sortir le plus souvent possible. C’est la meilleure manière de l’élargir.

Alors, lancez-vous des défis !
Traversez les frontières de votre zone de confort et éloignez-vous en un peu.
Puis de plus en plus…

Votre système nerveux va s’habituer et cette zone où vous êtes serein va grandir !

Si vous devenez un peu plus intrépides au quotidien, cela se ressentira dans vos prestations en public.
Vous deviendrez plus confiants, plus résistants au trac. Mais attention !

Allez-y PRO-GRE-SSI-VE-MENT !

Si vous avez une phobie atroce des serpents, n’allez pas vous mettre un boa autour du cou pour en guérir.
Beaucoup trop violent comme expérience…

Avancez par petits pas !

En sortant de votre zone de confort, vous devez vous sentir un peu mal à l’aise…
Pas à l’article de la mort !

Si vos émotions sont trop violentes, c’est que vous allez trop loin. Cela risque plus de vous traumatiser que de vous guérir.

Alors soyez mesuré, ok ?

​​Que faire pour ​ne pas perdre vos moyens en public à cause du trac?

Pour produire un son doux et rond à la guitare, il n’y a pas 36 solutions.
Je dois m’exercer à pincer les cordes avec la pulpe de l’index, en ayant le doigt détendu et en attaquant la corde de biais.

Il faut que je connaisse la recette précise d’un son doux et que je m’entraîne à la réussir sur commande.

Pour gérer le stress qui vous assaille quand vous êtes sous pression, c’est pareil.

Vous devez le connaître intimement.
Sachez précisément comment se manifeste votre trac au niveau physique, mental et émotionnel.

C’est crucial !

ÉTUDIEZ VOTRE TRAC.
Au moins autant que vous vous exercez à jouer du piano ou de la guitare.

Faites-cela et le trac en public ne vous transformera plus en gamin apeuré qui a peur de se faire gronder.
Je vous en donne ma parole.

Gérer les ​manifestations physiques d​u trac

Alors, quelle est la recette de votre anxiété somatique, de votre trac physique ?

Quels muscles ou articulations se rigidifient quand vous êtes stressés par le public ?
Vos paumes deviennent-elles glissantes ? Votre respiration s’accélère-t-elle ? Vos doigts ne semblent former qu’un espèce de paquet engourdi ?

Entraînez-vous à détendre les zones clés qui se contractent à cause de l’anxiété. Offrez-vous de véritables petites séances quotidiennes de relaxation ciblée. 

 

Repérez les passages d’un morceau qui restent carrés malgré le stress et ceux qui se dilapident littéralement. Solidifiez les doigtés les plus fragiles.

Exercez-vous à jouer avec les mains froides
, sans échauffement !

Gérer les ​manifestations mentales d​u trac

Et votre trac mental, comment se traduit-il ?

C’est comme si le temps s’accélérait ? Vous avez tendance à jouer faux ? A envisager des scénarios catastrophes ?

Pour limiter la casse, vous devez peut-être apprendre à intensifier votre concentration et à calmer votre esprit. Et/ou apprendre à vous parler gentiment dans votre tête et à vous faire des images mentales positives.

Travailler sur votre confiance en vous peut peut-être s’avérer également indispensable pour être plus « stable » sur scène.

Rappelez-vous qu’une chaîne n’est jamais plus solide que son maillon le plus faible !
Alors, solidifiez vos maillons les plus faibles ! 

Entrainez-vous à jouer des morceaux complexes avec la télé à fond dans la pièce. Ou avec des boules Quies ! Faites quelques séances de thérapie brève !

Pratiquez la méditation pour aiguisez votre concentration !

Trouvez et utilisez les antidotes qui vous rendront plus résistants à l’anxiété, au trac mental en public…

Gérer les manifestations émotionnelles d​u trac

« Essaie de ne pas être stressé ! »

Bah voyons ! La super fausse bonne idée du siècle !

Surtout, ne cherchez pas à éviter les émotions intenses que la performance en public provoque en vous.
C’est vain et inutile.
La vie s’arrangera toujours pour vous déstabiliser…

Un jour ou l’autre, vous serez face à des torrents d’émotions incontrôlés.
Et si cela se produit un jour J, vous n’aurez que vos yeux pour pleurer…

Il est plus sage d’apprendre à embrasser les montagnes russes que l’adrénaline et le trac provoquent en vous !

Entraînez-vous à composer avec les volcans d’hormones qui vous habitent, à surfer dessus…
Jetez-vous à l’eau la peur au ventre comme si vous sautiez en parachute !

Petit à petit, l’anxiété vous effraiera moins.

3 étapes pour commencer à mieux gérer votre trac

Exceller en public demande un entraînement spécial

Vous l’avez compris ! 
​Ne pas perdre ses moyens en public ​n’est pas chose aisée.

​Bien jouer
 de la guitare, du piano, de la musique devant les gens est comme une discipline à part entière.
C’est comme apprendre à jouer un nouvel instrument.

​Bien jouer avec le trac demande un entraînement exclusif ! 
Négliger cet entraînement est une erreur fatale.

3 étapes pour commencer à mieux jouer en public

Voici un récapitulatif des 3 étapes pour mieux jouer en public :

  1. Vous devez analysez votre trac point par point comme un contrôleur fiscal qui flaire une grosse entourloupe.

  2. Ensuite vous devez créer votre programme de gestion du stress et du trac sur-mesure pour travailler sur chaque manifestation de votre anxiété.

  3. Enfin, vous devez vous entraîner à jouer en étant proche des conditions du concert le plus souvent possible.

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Conclusion

C’est rageant d’avoir les membres raides comme des baguettes de bois à cause du trac.  Hein ?

De massacrer des morceaux que vous maîtrisez, dès qu’il y a deux personnes de plus que vous dans une pièce.

J’espère qu’à présent regard sur le trac a changé. Imaginez-vous jouer votre morceau préféré en public en donnant le meilleur de vous-même. Cela serait génial, n’est-ce pas ? 

Peut-être qu’aujourd’hui vous vous dites « c’est impossible !« .
Pourtant cela ne l’est pas.
Mais bien sûr, bien jouer avec le trac demande un investissement sérieux !

Il ne suffit pas de le savoir pour que cela vous aide.
De la même manière qu’il ne suffit pas de savoir qu’en arrosant des graines que l’on a plantées, elles poussent : vous devez quand même les planter et les arroser.

Alors allez-y !

Mettez-vous « en danger ».

Forcez cette anxiété, tapie dans l’ombre comme une panthère attendant que sa proie approche, à pointer le bout de son nez.

Identifiez les manifestations du trac, confrontez-les une par une !

Apprenez à relaxer cette épaule qui se raidit, à rester concentré en situation extrême, à visualiser des images mentales de triomphe malgré le stress.

Exercez-vous à chevaucher votre trac jusqu’à en devenir plus fort !

Agissez ainsi et le hasard n’aura plus aucune chance de vous faire perdre vos moyens !

Il est temps de jouer en public aussi bien que quand vous êtes seul, non ? Alors, par quoi allez-vous commencez ?

D’ailleurs, vous pourrez découvrir ici si le trac peut-être guéri comme toute autre phobie.

Avec confiance et motivation 🎶

Roman Buchta

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  • Sophie dit :

    Merci Roman ! Un article juste génial pour appréhender son stress différemment !
    Cela fait des années que j’essaie d’apprendre à jouer d’un instrument, mais j’ai beaucoup de mal… je suis donc contente de découvrir ton blog qui je pense, va beaucoup m’aider.

    Pour aujourd’hui, c’était surtout ma gestion du stress car je sors souvent de ma zone de confort en ce moment, mais du coup, je suis dans un stress quasi permanent.

    Ton article m’a fait voir les choses différemment, je vais sérieusement y réfléchir.
    Merci, j’ai hâte de pouvoir lire un peu plus de tes articles
    A bientôt

    • Roman Buchta dit :

      Merci beaucoup pour ton retour !
      Effectivement comprendre ce qui nous arrive et se connaître représente un avantage énorme !
      Excellente continuation à toi 😉

    • Katell DUREY dit :

      Pour gérer le stress, j’utilise la méditation de pleine conscience avec l’application Petit Bambou. Je fais aussi de la cohérence cardiaque et de l’hypnose pour dormir, car avec mes horaires changeants j’avais des décalages de phase. J’habite RENNES et Saint -Malo n’est pas loin et les tempêtes et grandes marées en rajoutent une couche.Bon dimanche.
      KATELL

  • Auriane dit :

    Super article ! Les outils que tu donnes peuvent s’appliquer pour n’importe quelle situation stressante. Je pense par exemple à ceux qui doivent faire un discours ou une conférence en public ou ceux qui passent des examens. Merci pour ces conseils !

  • Nono dit :

    Bonjour, merci pour cet article ! J’aimerai beaucoup recevoir votre guide complet mais je ne vois aucun champ à remplir… Merci

  • Marguerite dit :

    Cet article arrive à point. Je prépare mon concert et jouerai avec l’Ensemble à Noël. Je me préparerai mieux qu’à la dernière représentation où je me suis plantée à la fin du morceau avec des tremblement, trous de mémoire, et perte de contrôle de mon instrument.Marhuerite

  • Katell DUREY dit :

    Bonjour,
    Souvent j’ai le trac parce que l’on doit jouer de tête, alors que si ma partition n’est pas loin,
    cela est plus facile. A la TV il y a des grands interprètes qui jouent de tête avec les partitions. Le pire c’est en chorale avec tous les pupitres mélangés, sans partition. Des fois il faut fermer les yeux. Sachant que nous sommes 60, avec 6 voix. 1/2 h avant, je prends de l’homéopathie. Pourtant certains morceaux je les ai chantés un certain nombre de fois, de même au piano , où je dois reprendre la partition jouée pour le bac de musique , le 1°Mvt de la sonate clair de lune de Beethoven où j’ai eu 14. Par contre pour le Messie, les Carmina Burana, le Requiem de Mozart , le King Arthur, nous les avons gardées, Dieu merci. Bon Dimanche.

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