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Comment éviter les trous de mémoire en musique ?

On me pose régulièrement une question :
« Comment éviter les trous de mémoire ? »

Et de suite, une autre question surgit :
« Est-ce possible d’ailleurs d’éliminer les trous de mémoire ? »

En guise de réponse, un sourire se dessine sur mon visage.
Chaque fois le même.

Je ne sais pas si je souris parce que la question m’est posée
avec un air dramatique.

Ambiance révélation imminente !

À laquelle il ne manquerait qu’une musique de film à suspense ;
et une voix off qui déclare : « Ils vont peut-être enfin obtenir une réponse à leurs questions ! »

Ou peut-être que je souris, parce que la réponse est simplement “oui”.

Oui, avec les bonnes stratégies, il est possible d’éviter les trous de mémoire.
Même lorsque vous êtes devant un public, avec du stress plein le corps…

Je souris aussi par bienveillance.
Parce que je sais que les trous de mémoire peuvent réellement être un problème atroce pour certains musiciens.

En effet, les trous de mémoire font partie de la famille des problèmes anxiogènes.

Vous savez, ceux qui génèrent de la peur et du stress à cause d’un fameux « Et si ? »
« Et si j’ai un trou de mémoire ? »
« Et si je me trompe et que je n’arrive pas à reprendre le fil correctement ? »

Ces problèmes vous créent du mal-être.

Ce mal-être est un handicap qui peut vous faire échouer, perdre le fil, rater votre interprétation…
À cause de lui, vous pouvez finir déçu et amer.
Car votre prestation ne révèle pas réellement ce que vous êtes capables de donner musicalement.

Bien entendu, je vous souhaite tout l’inverse.
C’est tellement merveilleux de pouvoir s’exprimer librement devant les autres !
De faire vibrer son cœur et son instrument en même temps…

Pour atteindre cet état, vous le savez, il faut se jeter à l’eau !
Offrir votre musique.
Mais pour vous jeter à l’eau, vous devez vous sentir un minimum en sécurité.

Et bien sûr, vous avez deviné la suite !

Vous serez davantage en sécurité, si vous avez confiance en votre mémoire !

Heureusement,  en comprenant le mode d’emploi de votre mémoire,
vous pourrez davantage le respecter.

En le respectant, vous pourrez éliminer les trous de mémoire.
Et la hantise qui va avec bien sûr ! 😉

Prêt à bâtir une confiance solide en votre mémoire ?

 
 

IMPORTANT :
La vidéo ci-dessous reprend certains éléments de l’article, cependant elle n’en couvre pas tous les éléments !

La mémoire est contextuelle : les trous de mémoire aussi

Les trous de mémoire sont la norme

Kesaquo ?

Oui, les trous de mémoire sont la norme.

Ce qui constitue l’exception, c’est le fait de se souvenir.
Dit comme cela, ça peut surprendre, j’avoue ! 😉

Là, je vous entends dire :
Mais, un trou de mémoire c’est quand on n’arrive pas à mettre la main sur un souvenir, non ? Du genre :

« Ah ! je ne retrouve pas le nom de cette œuvre, pourtant je l’ai sur le bout de la langue… »

« Mince, j’ai encore oublié ce qu’il y a après cet arpège… »

Je m’explique !

Votre cerveau renferme plus de souvenirs qu’il n’y a de grains de sable sur une plage.
Les 100 milliards de neurones qui le composent sont gorgés de ces moments de vie qui constituent la richesse de votre existence.

Pourtant, la plupart du temps vous n’avez pas accès à ces souvenirs.
Ils viennent un à la fois.
Ou par paquets, quand ils sont reliés les uns aux autres.

En réalité, vous vivez dans un trou noir permanent.
Car vous n’avez pas accès à toutes les informations qui sommeillent dans votre matière grise !

Mais vu que vous n’en avez pas besoin, vous ne vous en rendez pas compte !
Un peu comme quand vous ne savez encore que vous avez perdu vos clés de voiture. 😉

Il n’y a que quand vous ne parvenez pas à mettre la main sur un nom, ou autre, que vous dîtes « Mince, j’ai un trou de mémoire ».

En réalité, dans ce cas, vous n’arrivez pas à accéder à l’information.
Alors que vous savez qu’elle se trouve quelque part dans votre tête !

On a tous déjà vécu ça, n’est-ce pas ?

L’accès à notre mémoire dépend du contexte

Pour comprendre la mémoire et éliminer la peur des trous de mémoire,
vous devez garder une chose à l’esprit.

Une chose banale dont vous avez fait l’expérience des tonnes de fois.

Cela vous est-il déjà arrivé de vous promener dans un lieu où
vous aviez vécu des années auparavant ?

Et en passant devant un endroit précis, une boîte aux lettres,
un carrefour, un arbre, un portail, etc., un souvenir surgit
dans votre esprit aussi brutalement que si vous vous preniez une gifle ?

Je vous l’avais dit que c’était quelque chose de banal.
😉

Mais ce phénomène reste riche d’enseignements.
Car il nous apprend que la mémoire est contextuelle.

Cela veut dire que tout ce que vous avez appris et mémorisé
est beaucoup plus facile d’accès lorsque vous êtes dans le même contexte
que celui dans lequel vous l’avez appris et mémorisé.

Et ce contexte peut être de différentes natures.
C’est peut-être un contexte géographique, comme la rue que vous empruntiez pour aller à l’école primaire lorsque vous étiez petits.
Mais ce contexte peut également être un contexte émotionnel et même physiologique !

Ivresse et mémoire : Une expérience amusante

Pendant mes études en sciences cognitives, une professeure de neuropsychologie cognitive nous avait parlé d’une expérience amusante.
Tenez-vous bien !

Dans cette expérience sur la mémoire, les sujets avaient appris
des informations en état d’ébriété.

Ensuite, les chercheurs ont divisé ces sujets en 2 groupes.
L’un des groupes devait se remémorer les informations apprises en étant sobre.
L’autre groupe devait se remémorer ces informations en état d’ébriété.

Et à votre avis, quel groupe a eu les meilleures performances ?

Et oui !
C’est le groupe qui était à nouveau en état d’ébriété !
😉

Le groupe « sobre » a eu plus de trous de mémoire…

Les sujets sobres étaient éloignés du contexte dans lequel ils avaient appris ces informations. D’où une plus grande difficulté à se rappeler !

Expérience amusante, n’est-ce pas ? 😉

La localisation : un contexte d’apprentissage qui compte

Vous rappelez-vous de l’époque où vous appreniez du vocabulaire ?
En anglais, en allemand, etc.

Personnellement, je ne pourrais pas oublier ces moments-là.
Je vois encore le bleu de mon carnet de vocabulaire d’anglais en 5e.

À l’époque, je ne savais pas comment mémoriser efficacement.
J’obtenais de bons résultats, mais au prix d’un travail redondant
et peu efficient.

Tout le contraire de ce que je souhaite vous apporter avec Ouimusique ^^ 😉

Quoi qu’il en soit, à cette époque déjà, j’avais remarqué un phénomène particulier.

Parfois, ma mère réussissait à m’interroger sur mon vocabulaire d’anglais !

Et même quand je ne retrouvais pas le mot demandé, je pouvais souvent en  visualiser sa position sur la feuille.  S’il était en haut, au milieu, ou en bas…

Très souvent, je savais avant ou après quel autre mot se situait celui que ma mère me demandait.
Et cela m’aidait à retrouver le mot sur lequel j’étais interrogé. 😉

Je me servais des autres mots comme de passerelles pour retrouver celui qui m’était demandé.

Et oui !
La mémoire est contextuelle.
Et la position des mots, les uns par rapport aux autres, faisait partie du contexte dans lequel je les apprenais.

C’est ce qu’on appelle l’effet de série ou la mémoire sérielle.

Même si on ne le veut pas, notre cerveau mémorise l’endroit où se trouve l’information que l’on apprend.

Trous de mémoire et mémoire sérielle

Mémoire sérielle et alphabet

Dites-moi : dans l’alphabet, quelle lettre se situe avant la lettre « o » ?

Je parie que vous avez dû reprendre un peu en arrière dans l’alphabet pour pouvoir retrouver la lettre qui précède la lettre « o ».

Cela ne vous a sûrement pas pris longtemps.

Mais, si vous regardez à la loupe, vous remarquerez que vous avez eu
comme un petit trou de mémoire.

Pendant un instant, vous n’aviez pas accès à l’information désirée.

Et vous avez dû utiliser une astuce pour répondre à ma question.
Reprendre en arrière, ou même reprendre depuis le début de l’alphabet et dérouler celui-ci !

A,b,c,d,e,f,g,h,i,j,k,l,m,n,O !

C’est exactement la même chose lorsque vous apprenez un enchaînement de tai-chi ou un kata de karaté.
Pour retrouver un moment précis dans l’enchaînement, vous avez besoin de reprendre un peu en arrière, voir au début.

Cela fonctionne pour la mémoire sémantique (vos connaissances), et pour la mémoire procédurale (vos apprentissages gestuels).

Mémoire sérielle, musique et trous de mémoire

Inutile d’en rajouter, vous m’avez compris !

C’est le même phénomène qui produit des trous de mémoire chez les musiciens.

Imaginez-vous en train d’interpréter une œuvre.

Tout se passe à peu près bien, vous êtes dedans, c’est agréable…
Mais d’un coup, un événement inattendu se produit et vous perdez le fil de ce que vous étiez en train de jouer.
Et là, vous essayez à tout prix de retrouver rapidement l’endroit où vous vous êtes égaré.
Mais vous n’y avez pas accès !
Pas de suite en tout cas…

Vous devez reprendre en arrière, dérouler l’œuvre en accéléré
pour pouvoir continuer là où vous en étiez.

Mais quand vous êtes pressés, cela change tout !
L’empressement peut bloquer la récupération de l’information.

Un peu comme si vous serriez fort un tuyau d’arrosage en espérant que cela fasse sortir plus d’eau.

Ce n’est pas exactement ce qui va se passer, n’est-ce pas ?

Alors, comment ne pas tomber dans ce piège ?
Comment éviter ces petits trous de mémoire, qui avec le stress peuvent devenir gros ?

Créez des balises de sauvetage anti trous de mémoire !

Problème complexe, réponse simple.
C’est ça que j’aime avec les neurosciences ! 😉

Pour avoir accès facilement à différents endroits de votre œuvre
Il vous suffit de créer des accès à ces différents endroits.

Comment ?

Et bien tout simplement en vous entraînant à commencer à jouer l’œuvre depuis ces différents passages !

En effet, pourquoi certaines personnes ont besoin de reprendre l’alphabet au début pour trouver la lettre qui précède le « o » ?

Et bien tout simplement parce qu’elles ont toujours récité l’alphabet depuis le début !

Pour casser ce phénomène, commencez à réciter l’alphabet depuis différents points d’ancrage.
Dans le meilleur des cas, vous pouvez recommencer directement là où vous le souhaitez.
Dans le pire des cas, le chemin pour retrouver l’information sera beaucoup plus court ! 😉

C’est exactement la même chose avec les morceaux de musique que vous jouez !

Conseils pratiques pour créer des ancres anti trous de mémoire

Découper de manière logique et selon votre niveau de compréhension

Ça, c’est le premier point clé !

La compréhension intervient grandement dans les phénomènes de mémorisation.

Plus vous comprenez ce que vous faites, mieux votre cerveau peut le ranger.

Avec l’exemple de l’alphabet, c’est simple.
Chaque lettre constitue un point logique de démarrage éventuel.

En musique, les choses ne sont pas similaires.

Les morceaux que vous jouez sont composés de différentes parties.
Ces parties sont composées de phrases musicales.
Ces phrases sont composées de traits, puis de mesures, etc.

Créez-vous des balises de sauvetage à des endroits qui vous semblent logiques et appropriés.
Et répartissez ces valises de manière homogène au fil de l’œuvre.

Rappelez-vous le Petit Poucet.

Il ne sème pas tous ses cailloux sur une distance de 5 m en laissant tout le reste du trajet nu !
Sinon, on le trouverait tous carrément très idiot !

Et si le Petit Poucet sème ses cailloux intelligemment
Il privilégiera les endroits ambigus qui peuvent vite être confondus
Comme des carrefours d’arbres par exemple, des croisées de chemin, etc.

Entraînez-vous, le jeu en vaut la chandelle

Là encore, je ne vais pas réinventer l’eau chaude.
Mais bon, je dois quand même insister là-dessus !

Comme pour tout, il vous faut pratiquer pour obtenir des résultats.
Donc oui, ça rajoute un peu de travail.

  • Vous devez analyser votre œuvre et définir des points d’ancrage
  • Vous devez commencer à jouer l’œuvre depuis ces points d’ancrage

Mais le jeu en vaut vraiment la chandelle !

Un peu comme lorsque vous travaillez sur un ordinateur et que vous enregistrez régulièrement le fichier sur lequel vous travaillez. Ça demande un petit effort régulier.

Mais lorsque vient la panne, le bug, le truc qui n’est pas censé arriver;
et que vous ne perdez pas 10 heures de travail.
Quel soulagement ! Et quelle joie ! 😉

Nous sommes d’accord, n’est-ce pas ?

Imaginez-vous vous sentir profondément rassuré en songeant à jouer devant un public.
Sentir au fond de vous une solidité, un ancrage, du calme, car vous savez que vous connaissez l’œuvre que vous devez jouer. Que vous n’aurez pas de trou de mémoire !

Le trac, le stress, la peur, le mal-être viennent souvent de notre incertitude…
Du fait que nous ne sommes pas certains que nous allons réussir à faire ce que nous souhaitons faire.

Mais si vous savez au fond de vous-même que vous connaissez solidement l’œuvre que vous allez jouer, cela vous offre une assise stable, un sacré confort.

Un confort qui peut vous aider à vous exprimer musicalement avec beaucoup plus de liberté. Pour votre plus grand plaisir et celui des gens qui vous écoutent… 😉

Enfin, si vous souhaitez découvrir comment mémoriser une œuvre à vie facilement et rapidement, cliquez ici !

Et pour ceux d’entre-vous qui veulent en savoir plus, je vous ai préparé un mini cours gratuit pour apprendre à mémoriser beaucoup plus efficacement.

Ce mini cours est GRATUIT. Alors, profitez-en ! 😉

Pour le télécharger, vous n’avez qu’à m’indiquer à quelle adresse je dois vous l’envoyer en remplissant les champs ci-dessous :

Et si vous avez des questions, écrivez-les dans les commentaires.
J’y répondrai avec plaisir ! 😉

Avec confiance et motivation,

Roman Buchta

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  • gislhaine dit :

    Bonjour,
    Merci infiniment pour la qualité de vos articles et surtout pour cette façon de nous aider à reprendre confiance en nous.
    Cordialement

    • Roman Buchta dit :

      Merci, Ghislaine pour votre retour.
      C’est très encourageant !
      Je suis très heureux que mes articles vous aident à reprendre confiance.
      Car la confiance est l’ingrédient primordial pour pouvoir apprendre efficacement.
      Sans elle, vous pouvez travailler des heures, des mois, des années, et ne jamais obtenir de résultats satisfaisants.
      C’est dommage et triste.
      Mais heureusement, c’est parfaitement évitable
      quand on emploie les bonnes stratégies !
      Excellente continuation à vous 😉

  • Nicolas dit :

    Merci pour cet article ! J’ai beaucoup aimé. Par contre, j’ai une question toute bête : est ce que ces techniques sont enseignées dans un cursus « normal » de musicien ? Est ce que le parcours type prévoit à un moment donné d’enseigner la « mémoire infaillible » ? 🙂

    • Roman Buchta dit :

      Bonjour Nicolas,

      Non, à ma connaissance ces informations ne sont pas enseignées
      dans des cursus classiques.
      J’ai d’ailleurs donnée une conférence sur ce sujet
      au Conservatoire Nationale Supérieure de Musique de Lyon
      au début de ce mois et les étudiants n’avaient jamais étudié ces notions !

      C’est d’ailleurs la mission de Ouimusique de mettre
      en lien le travail des chercheurs en neurosciences avec
      les Ouimusiciens qui aiment comprendre comment fonctionne
      leur cerveau et optimiser leur apprentissage de la musique !

      Au plaisir 😉

  • Julie dit :

    Merci beaucoup pour cet article, c’était vraiment très intéressant, personnellement j’ai joué de deux instruments de musique et je n’ai jamais rien réussi à apprendre par cœur. Et surtout je me dis que la technique des balises peut fonctionner dans bien d’autres domaines où l’on doit retenir des choses.

  • Valentine dit :

    Hello Roman,

    Je trouve très intéressant l’expérience au sujet du contexte. Et je comprends mieux pourquoi la visualisation est si puissante. Pour préparer les examens importants, j’aime travailler et mémoriser en m’imaginant le jour-J en train de me remémorer ce que je suis en train d’apprendre. Cela permet d’ancrer vraiment l’apprentissage au contexte je trouve.

  • Technique très utile pas de doute
    Anecdote : un jour j’ai eu un trou de mémoire en jouant avec partition, étonnant non?

    • Roman Buchta dit :

      Bonjour Jean-Cristophe,

      Cela semble incroyable, mais cela ne l’est
      pas tellement étonnant si in y regarde de plus près !

      Vous avez peut-être perdu le fil de votre jeu,
      et lorsque vous vous en êtes aperçu, la « panique »
      ou « l’empressement de retomber sur vos pieds »
      à littéralement court-circuiter voter mémoire de travail !

      Après ce n’est qu’un hypothèse. 😉
      Cela ressemble à ce que vous avez vécu ?

      Bien à vous

  • Nico dit :

    Très bon article ! Merci

  • Aubrie, Claude dit :

    Bonjour et un grand merci pour ces infos un peu nouvelles pour moi.

    Merci pour le système des balises, j’essaierai. Je découpe une oeuvre en passages notoirement trop gros d’après ce que vous dites.

    Une question, depuis quelques mois, j’apprends différemment : je travaille un passage +- grand pendant 3-4 jours, puis je change d’oeuvre pendant 3-4 jours, puis je reviens au n° 1 … etc … Eventuellement je travaille sur un point précis quelques 10 minutes, et arrête.
    J’ai l’impression que c’est plus efficace, de même que jouer le passage juste avant le coucher me semble aider au travail.

    Merci pour votre site,
    Claude

    • Roman Buchta dit :

      Bonjour Claude,

      Merci pour votre retour.
      La stratégie de jouer pendant 3-4 jours un morceau puis de changer est intéressante,
      si elle vous donne des progrès concrets c’est une très bonne chose !
      Pour ma part, je conseille plutôt de travailler les morceaux 1 jour sur 2
      et si possible 2 fois dans la même journée !
      Cela respecte plus le mode d’emploi du cerveau.

      Quant à travailler le soir, effectivement cela peut être bénéfique à une condition.
      Que vous arriviez à vous concentrer bien sûr. ^^

      Au plaisir de vous lire,

      Roman

  • Clement dit :

    Salut ! Tes articles sont super intéressant, je ne prend pas le temps de répondre un commentaire sur chaque, mais c’est vraiment chouette de partager autant de connaissances utiles et pratiques et qui aides les autres !

    Je vais me plonger corps et âme dans tes recherches et te remercie encore pour ces partages

    J’ai toujours recherché des solutions des astuces dans ma pratique de la guitare, exactement ce que tu expliques !

    Je te suis donc reconnaissant pour tout ton travaille et te remercie encore pour ce partage ! Je vais suivre très régulièrement tes articles ! MERCI ! 😀

    • Roman Buchta dit :

      Salut Clément !

      Merci pour ton retour qui fait chaud au cœur!
      Je suis vraiment très heureux que mon travail
      te stimule dans ton aventure guitaristique !

      Très bonne continuation à toi et au plaisir 😉

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